En 1893, apparait l’ancêtre du permis de conduire : le certificat de capacité. Obligatoire pour conduire un véhicule à moteur, il voit le jour à Paris sous l’impulsion du préfet Louis Lépine, suite à l’augmentation du nombre de véhicules sur les routes de la capitale. En 1899, il se généralise à la France entière. A l’époque, le certificat de capacité est uniquement délivré aux hommes de plus de 21 ans suite à un examen (savoir démarrer, tourner et s’arrêter).
En 1922, il prend le nom de permis de conduire. L’âge minimum pour l’obtenir passe alors à 18 ans. Les femmes peuvent également y accéder.
En 1971, le Service National des Examens du Permis de Conduire est mis en place et c’est l’État qui gère désormais les examens du permis de conduire et du Code de la route.
En 1992, le permis à 12 points, tel que nous le connaissons aujourd’hui, est mis en place. Son objectif est alors de réduire les infractions routières et ainsi le nombre d'accidents.