Très discrets, ces petits appareils sont embarqués dans des véhicules de police banalisés et en circulation. Ils ne peuvent donc pas être localisés. Le contrôle d’excès de vitesse s’effectue lorsque qu’une voiture dépasse ou s’approche d’un véhicule des forces de l’ordre muni d’un radar embarqué. Ces radars mobiles peuvent également flasher les automobilistes roulant dans le sens de circulation inverse.
Selon le décompte de la DISR, 90% des infractions détectées par ces radars embarqués concernent des d’excès de vitesse allant de 10 à 30km/h. Depuis leur mise en fonction, ces radars se sont montrés plus performants que les radars traditionnels. En effet, ils ont permis de « flasher 1% des grands excès de vitesse supérieurs à 60km/h contre 0,2% avec les autres radars dits classiques», relève la DISR. Sur Paris, 24 000 infractions ont été répertoriées en un an.
Devant l’efficacité des 99 véhicules équipés de radars actuellement en service, les responsables de la Sécurité Routière souhaitent doubler cet effectif d’ici la fin de l’année 2014 et atteindre le nombre de 300 véhicules en 2015.
Selon le décompte de la DISR, 90% des infractions détectées par ces radars embarqués concernent des d’excès de vitesse allant de 10 à 30km/h. Depuis leur mise en fonction, ces radars se sont montrés plus performants que les radars traditionnels. En effet, ils ont permis de « flasher 1% des grands excès de vitesse supérieurs à 60km/h contre 0,2% avec les autres radars dits classiques», relève la DISR. Sur Paris, 24 000 infractions ont été répertoriées en un an.
Devant l’efficacité des 99 véhicules équipés de radars actuellement en service, les responsables de la Sécurité Routière souhaitent doubler cet effectif d’ici la fin de l’année 2014 et atteindre le nombre de 300 véhicules en 2015.