Point positif : le défaut du port du casque est en forte baisse avec 58 696 infractions en 2010, contre 77 777 infractions en 2001.
Cependant, la vitesse est, quant à elle, en nette augmentation. En effet, les motards pensent pouvoir éviter les radars, qui flashent généralement à l'avant, et sont donc bien moins respectueux des limitation de vitesse. Ils sont 24% à avoir dépassé la limite autorisée contre 20% pour les automobilistes. Par ailleurs, 71% des motocyclistes ont dépassé les 50 km/h en ville en 2010.
L'alcool, qui est la première cause de mortalité avant la vitesse, est également mise en cause. 33,3% des conducteurs de cyclomoteurs ont un taux d'alcoolémie positif et très nettement supérieur, contre 20,6% pour les motocyclettes et 20,7% pour les conducteurs de quatre-roues.
Cependant, la vitesse est, quant à elle, en nette augmentation. En effet, les motards pensent pouvoir éviter les radars, qui flashent généralement à l'avant, et sont donc bien moins respectueux des limitation de vitesse. Ils sont 24% à avoir dépassé la limite autorisée contre 20% pour les automobilistes. Par ailleurs, 71% des motocyclistes ont dépassé les 50 km/h en ville en 2010.
L'alcool, qui est la première cause de mortalité avant la vitesse, est également mise en cause. 33,3% des conducteurs de cyclomoteurs ont un taux d'alcoolémie positif et très nettement supérieur, contre 20,6% pour les motocyclettes et 20,7% pour les conducteurs de quatre-roues.
Les chiffres sont cependant plus encourageants entre 2009 et 2010. Durant cette période, la mortalité des deux-roues a considérablement baissé : -19,8%. Cependant, il est nécessaire de rappeler que les 15-19 ans sont les plus grands utilisateurs de ce mode de déplacement et représentent 44% des tués en 2010.
La plupart des collisions ont lieu en ville mais les accidents les plus graves arrivent majoritairement sur les routes départementales. Les auteurs de ces drames sont, pour une grande majorité, les conducteurs eux-mêmes : un chiffre s'élevant à 60%.
La plupart des collisions ont lieu en ville mais les accidents les plus graves arrivent majoritairement sur les routes départementales. Les auteurs de ces drames sont, pour une grande majorité, les conducteurs eux-mêmes : un chiffre s'élevant à 60%.