Un réel exemple à suivre pour les maires des autres grandes villes, car aucun autre dispositif n'avait été appliqué à une agglomération aussi large : plus de 12 millions d'habitants.
Réparties dans 46 communes différentes, les stations s'affichent comme une vitrine pour le monde entier. "Nous avons été approché par des maires de grandes villes des Etats-Unis, de la Chine, du Japon, de la Corée du Sud, de l'Espagne et même du Brésil" souligne Morald Chibout, directeur général d'Autolib'. "Pour eux, Autolib' est une réponse formidable pour, qu'à l'avenir, les villes deviennent moins polluantes et pour changer les comportements des citadins".
L'innovation vient également du fait que les véhicules fonctionnent exclusivement à l'électrique. En effet, en Allemagne et aux Etats-Unis, où l'autopartage est déjà largement répandu, les véhicules ne fonctionnent qu'à l'essence. Berlin reste très attentif au développement du système et compte opter pour des voitures électriques d'ici deux ans.
Actuellement, 4 800 Franciliens sont déjà abonnés au service, qui espère séduire 80 000 abonnés pour 3 000 Bluecar dans cinq ans. En atteignant ce stade, il devrait contribuer à réduire de 22 500 le nombre de véhicules privés dans la région Île-de-France, selon le syndicat mixte Autolib', soit plus de 260 000 tonnes de CO2 en moins chaque année.
Réparties dans 46 communes différentes, les stations s'affichent comme une vitrine pour le monde entier. "Nous avons été approché par des maires de grandes villes des Etats-Unis, de la Chine, du Japon, de la Corée du Sud, de l'Espagne et même du Brésil" souligne Morald Chibout, directeur général d'Autolib'. "Pour eux, Autolib' est une réponse formidable pour, qu'à l'avenir, les villes deviennent moins polluantes et pour changer les comportements des citadins".
L'innovation vient également du fait que les véhicules fonctionnent exclusivement à l'électrique. En effet, en Allemagne et aux Etats-Unis, où l'autopartage est déjà largement répandu, les véhicules ne fonctionnent qu'à l'essence. Berlin reste très attentif au développement du système et compte opter pour des voitures électriques d'ici deux ans.
Actuellement, 4 800 Franciliens sont déjà abonnés au service, qui espère séduire 80 000 abonnés pour 3 000 Bluecar dans cinq ans. En atteignant ce stade, il devrait contribuer à réduire de 22 500 le nombre de véhicules privés dans la région Île-de-France, selon le syndicat mixte Autolib', soit plus de 260 000 tonnes de CO2 en moins chaque année.