Une série d'autres mesures, destinées à lutter contre l'insécurité routière ont été annoncées, telles que le déploiement de nouveaux radars fixes d'ici la fin de l'année prochaine.
"La France compte 2 080 radars à ce jour" a déclarer le chef de l'Etat lors de la cérémonie des Echarpes d'Or de la prévention routière. "Je souhaite que 400 radars fixes soient déployés d'ici à la fin de l'année prochaine". Ces nouveaux radars ne seront plus annoncés par des panneaux de signalement et seront situés de sorte à ce que les automobilistes ne puissent pas s'avertir entre eux.
Par ailleurs, les "assistants d'aide à la conduite" ne pourront plus indiquer la présence de radars, mais seulement des "zones de danger", pour attirer l'attention des conducteurs. "En aucun cas, les radars ne servent de recettes budgétaires facile" a assurer le président de la République. "L'argent de la sécurité routière revient intégralement à la route et à ses usagers".
Quant à l'équipement obligatoire des éthylotests, c'est "une mesure peu coûteuse" d'après l'Elysée : le prix d'achat varie entre 1,5€ et 2€. Mais nous pouvons parier sur une baisse des prix rapide, à l'image des gilets jaunes qui ont vu leur prix décroitre avec le décret les rendant obligatoire.
L'objectif de toutes ces mesures est de passer sous la barre des 3 000 tués sur les routes par an. Depuis dix ans, le nombre de morts sur les routes a diminué de moitié, passant de 8 000 à 4 000 personnes décédées entre le 1er novembre 2010 et le 31 octobre 2011.
Par ailleurs, les "assistants d'aide à la conduite" ne pourront plus indiquer la présence de radars, mais seulement des "zones de danger", pour attirer l'attention des conducteurs. "En aucun cas, les radars ne servent de recettes budgétaires facile" a assurer le président de la République. "L'argent de la sécurité routière revient intégralement à la route et à ses usagers".
Quant à l'équipement obligatoire des éthylotests, c'est "une mesure peu coûteuse" d'après l'Elysée : le prix d'achat varie entre 1,5€ et 2€. Mais nous pouvons parier sur une baisse des prix rapide, à l'image des gilets jaunes qui ont vu leur prix décroitre avec le décret les rendant obligatoire.
L'objectif de toutes ces mesures est de passer sous la barre des 3 000 tués sur les routes par an. Depuis dix ans, le nombre de morts sur les routes a diminué de moitié, passant de 8 000 à 4 000 personnes décédées entre le 1er novembre 2010 et le 31 octobre 2011.