D'après l'enquête, le suspect s'était fait flasher de face par un radar à plus de 260 km/h sur l'autoroute A16. Mais la plaque d'immatriculation des motos se trouvant à l'arrière, il n'avait pas pu être retrouvé directement après les faits, a précisé la gendarmerie.
Arrêté le 3 septembre pour "mise en danger délibérée de la vie d'autrui", "provocation non suivie d'effet au crime ou délit par image ou moyen de communication" et "excès de vitesse supérieur à 50 km/h", le motard a reconnu les faits en garde à vue.
Avec le concours d'un "cybergendarme", les militaires de la brigade motorisée de Boulogne sont remontés jusqu'à lui après avoir identifié l'adresse IP de l'ordinateur qui avait servi à diffuser la vidéo sur Youtube.
Le motard encourt une peine de cinq ans d'emprisonnement et 45.000 euros d'amende, et la confiscation de sa moto et de son matériel vidéo, selon la gendarmerie.
Avec le concours d'un "cybergendarme", les militaires de la brigade motorisée de Boulogne sont remontés jusqu'à lui après avoir identifié l'adresse IP de l'ordinateur qui avait servi à diffuser la vidéo sur Youtube.
Le motard encourt une peine de cinq ans d'emprisonnement et 45.000 euros d'amende, et la confiscation de sa moto et de son matériel vidéo, selon la gendarmerie.