Il ne s'agit donc pas d'un système type « alcolock », cette innovation qui empêche le démarrage du moteur si l'air expiré par le
conducteur affiche un taux supérieur à la limite légale. Le conducteur devra sur sa propre initiative contrôler son alccolémie.
Notre nouveau secrétaire d'Etat n'est en effet pas favorable au système d'éthylotest antidémarrage.
« Une fausse bonne idée » selon lui, car une autre personne que le conducteur peut l'utiliser. A voir, car cette solution en vigueur dans de nombreux pays commence à porter ses fruits.
Saluons cette initiative de prévention en tout cas, qui pourrait être suivie par l'autre constructeur français : Dominique Bussereau doit recevoir Philippe Streiff, le directeur de Peugeot et Citroën, fin septembre prochain pour évoquer ce même sujet !