Bruxelles se félicite des efforts réalisées par la France en matière de réduction du nombre de morts. Cette acclamation eu lieu lors de la première Conférence du « Road Safety PIN » e, juin 2007.
La France occupe en effet la première place : elle a réduit le nombre de morts sur les routes plus vite que tout autre pays européen.
De 2001 à 2005, le nombre de morts annuels a diminué de 35%, soit 2 844 vies sauvées chaque année. Ce résultat s'inscrit
dans l'objectif européen de réduire de moitié le nombre de morts d’ici 2010. La France en est ainsi le meilleur contributeur.
L'explication provient bien sûr d'un meilleur respect des règles de la route. La France est notamment le seul pays européen à avoir été capable de réduire la vitesse moyenne sur tous les types de route de 6 à 10%. Les radars ne sont bien sûr pas étrangers à cette baisse.
Cécile Petit, Déléguée Interministérielle à la Sécurité Routière recevant le prix a déclaré : « Le bilan français est très encourageant. En cinq ans, environ 10 400 vies ont été sauvées et 130 000 blessés épargnés. Mais il reste fragile. C'est pourquoi il nous faut continuer à démontrer qu'il n'y a pas de fatalité. Toute politique de sécurité routière nécessite une politique de prévention ambitieuse et à long terme à côté d'une politique de contrôle ferme. Pour être pleinement efficace, il convient d'agir sur l'ensemble des facteurs de risque - infrastructure, véhicules, usagers - en associant pleinement tous les acteurs nationaux et locaux concernés ».
La France occupe en effet la première place : elle a réduit le nombre de morts sur les routes plus vite que tout autre pays européen.
De 2001 à 2005, le nombre de morts annuels a diminué de 35%, soit 2 844 vies sauvées chaque année. Ce résultat s'inscrit
dans l'objectif européen de réduire de moitié le nombre de morts d’ici 2010. La France en est ainsi le meilleur contributeur.
L'explication provient bien sûr d'un meilleur respect des règles de la route. La France est notamment le seul pays européen à avoir été capable de réduire la vitesse moyenne sur tous les types de route de 6 à 10%. Les radars ne sont bien sûr pas étrangers à cette baisse.
Cécile Petit, Déléguée Interministérielle à la Sécurité Routière recevant le prix a déclaré : « Le bilan français est très encourageant. En cinq ans, environ 10 400 vies ont été sauvées et 130 000 blessés épargnés. Mais il reste fragile. C'est pourquoi il nous faut continuer à démontrer qu'il n'y a pas de fatalité. Toute politique de sécurité routière nécessite une politique de prévention ambitieuse et à long terme à côté d'une politique de contrôle ferme. Pour être pleinement efficace, il convient d'agir sur l'ensemble des facteurs de risque - infrastructure, véhicules, usagers - en associant pleinement tous les acteurs nationaux et locaux concernés ».