Cette annonce a été faite lors des "Rencontres nationales de la sécurité routière" organisées au Cnit à Paris.
«Au cours des prochains mois, nous poursuivrons les opérations de contrôle et de prévention », a annoncé Dominique de Villepin, à l'occasion des Rencontres nationales de la sécurité routière. Il a souligné que le nombre de morts en février était « une amélioration notable » par rapport à janvier, où 394 personnes avaient été tuées.
Le premier Ministre a annoncé le renforcement de la lutte contre la conduite sans permis : « un comportement irresponsable qui est impliqué dans 1,6% des accidents corporels ».
Enfin « d'ici la fin de l'année, les 2.000 radars automatiques annoncés seront déployés sur les routes françaises ».
En pleine campagne présidentielle, une polémique sur l'utilisation du produit des amendes pour dépassement de vitesse autorisée montait. Le premier Ministre a apporté des précisions « La répartition, définie par le Parlement, prévoit que 60% des sommes perçues par le système de contrôle sanction-automatique servent à le développer et à le faire fonctionner. Ce système ne coûte donc rien à l'Etat ». Les 40% restants sont affectés à l'aménagement du réseau routier et les éventuels excédents sont versés aux collectivités locales pour créer par exemple des carrefours à feux ou améliorer la sécurité des arrêts de bus.
«Au cours des prochains mois, nous poursuivrons les opérations de contrôle et de prévention », a annoncé Dominique de Villepin, à l'occasion des Rencontres nationales de la sécurité routière. Il a souligné que le nombre de morts en février était « une amélioration notable » par rapport à janvier, où 394 personnes avaient été tuées.
Le premier Ministre a annoncé le renforcement de la lutte contre la conduite sans permis : « un comportement irresponsable qui est impliqué dans 1,6% des accidents corporels ».
Enfin « d'ici la fin de l'année, les 2.000 radars automatiques annoncés seront déployés sur les routes françaises ».
En pleine campagne présidentielle, une polémique sur l'utilisation du produit des amendes pour dépassement de vitesse autorisée montait. Le premier Ministre a apporté des précisions « La répartition, définie par le Parlement, prévoit que 60% des sommes perçues par le système de contrôle sanction-automatique servent à le développer et à le faire fonctionner. Ce système ne coûte donc rien à l'Etat ». Les 40% restants sont affectés à l'aménagement du réseau routier et les éventuels excédents sont versés aux collectivités locales pour créer par exemple des carrefours à feux ou améliorer la sécurité des arrêts de bus.