A hauteur de volant, leur fonction serait de compter le nombre de passagers dans les voitures sans pour autant relever les plaques d’immatriculation d’après la Direction des routes d’Ile-de-France (DIRIF). Ce dispositif aurait été mis en place dans une optique d’incitation au covoiturage.
En effet, il n’y a en moyenne qu’1,1 passagers par véhicule, ce qui explique la forte pollution et la quantité d’embouteillages en Ile-de-France, à toute heure de la journée. Voyager à au moins deux personnes réduirait ces bouchons de moitié.
Afin d’encourager les conducteurs à opter pour le covoiturage urbain, le ministère des Transports et la région Ile-de-France ont déjà mis en place des subventions de 2€ par trajet déclaré sur certaines plateformes. Il y a également de plus en plus de places dédiées au covoiturage devant les gares franciliennes. Ils ont maintenant pour projet d’ouvrir des voies d’accès réservées aux bus, taxis et covoitureurs sur les autoroutes principales de la région parisienne, ce qui assurerait un gain de temps considérable aux voyageurs concernés.
Cependant, pour que ce système fonctionne, il est nécessaire de pouvoir contrôler que les usagers qui empruntent les voies réservées ont bien le droit d’y circuler. Les caméras installées sur l’A86 en seraient donc l’outil de contrôle principal. Il ne s’agit pour l’instant que d’un système expérimental, mais ces caméras devront pouvoir discerner une vraie personne d’un mannequin ou d’une poupée gonflable que certains conducteurs tenteront à coup sûr d’utiliser pour accéder aux routes réservées sans pour autant y être autorisés. Le dispositif sera donc certainement doté d’un système infrarouge détectant les ondes de chaleur émanant du corps humain. Si de telles routes venaient à être généralisées, les fraudeurs seraient punis d’une amende d’une centaine d’euros et d’un retrait de points, mais cela reste encore à confirmer.
En effet, il n’y a en moyenne qu’1,1 passagers par véhicule, ce qui explique la forte pollution et la quantité d’embouteillages en Ile-de-France, à toute heure de la journée. Voyager à au moins deux personnes réduirait ces bouchons de moitié.
Afin d’encourager les conducteurs à opter pour le covoiturage urbain, le ministère des Transports et la région Ile-de-France ont déjà mis en place des subventions de 2€ par trajet déclaré sur certaines plateformes. Il y a également de plus en plus de places dédiées au covoiturage devant les gares franciliennes. Ils ont maintenant pour projet d’ouvrir des voies d’accès réservées aux bus, taxis et covoitureurs sur les autoroutes principales de la région parisienne, ce qui assurerait un gain de temps considérable aux voyageurs concernés.
Cependant, pour que ce système fonctionne, il est nécessaire de pouvoir contrôler que les usagers qui empruntent les voies réservées ont bien le droit d’y circuler. Les caméras installées sur l’A86 en seraient donc l’outil de contrôle principal. Il ne s’agit pour l’instant que d’un système expérimental, mais ces caméras devront pouvoir discerner une vraie personne d’un mannequin ou d’une poupée gonflable que certains conducteurs tenteront à coup sûr d’utiliser pour accéder aux routes réservées sans pour autant y être autorisés. Le dispositif sera donc certainement doté d’un système infrarouge détectant les ondes de chaleur émanant du corps humain. Si de telles routes venaient à être généralisées, les fraudeurs seraient punis d’une amende d’une centaine d’euros et d’un retrait de points, mais cela reste encore à confirmer.