Selon une étude réalisée par l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), le risque d’accidents s’avère être moins élevé sur les petites routes de campagne sinueuses que sur les grands axes nationaux.
Contrairement aux idées reçues, les grands axes que l’on croit pourtant plus sûrs, sont en réalité ceux qui enregistrent le plus d’accidents mortels d’après l’étude. En effet, bien que ces derniers soient davantage dégagés et aménagés, 20 % de ces routes concentrent jusqu’à 55 % de la mortalité routière en France. Car malgré les nombreux changements adoptés (améliorations de virages, dégagements de visibilité, voies spécifiques pour tourner), le trafic reste très important sur ces réseaux, ce qui accroît le risque d’accidents.
Une mortalité plus élevée dans les départements ruraux
Selon le rapport, ce sont les départements ruraux qui comptent le plus de tués sur les routes. Ainsi, entre 2012 et 2016, les Bouches-du-Rhône (286 morts), la Gironde (234) et la Loire-Atlantique (224) sont les départements qui arrivent en tête avec le plus grand nombre de décès.
Contrairement aux idées reçues, les grands axes que l’on croit pourtant plus sûrs, sont en réalité ceux qui enregistrent le plus d’accidents mortels d’après l’étude. En effet, bien que ces derniers soient davantage dégagés et aménagés, 20 % de ces routes concentrent jusqu’à 55 % de la mortalité routière en France. Car malgré les nombreux changements adoptés (améliorations de virages, dégagements de visibilité, voies spécifiques pour tourner), le trafic reste très important sur ces réseaux, ce qui accroît le risque d’accidents.
Une mortalité plus élevée dans les départements ruraux
Selon le rapport, ce sont les départements ruraux qui comptent le plus de tués sur les routes. Ainsi, entre 2012 et 2016, les Bouches-du-Rhône (286 morts), la Gironde (234) et la Loire-Atlantique (224) sont les départements qui arrivent en tête avec le plus grand nombre de décès.