Bâillements répétés, raideurs dans la nuque ou encore picotement des yeux sont autant de signes avant-coureurs alertant les usagers sur leur état de fatigue. Cependant, de nombreux conducteurs sous-estiment les dangers liés à la somnolence et à la fatigue au volant, d’autant plus que ces derniers augmentent fortement le risque d’accident : la somnolence est associée à 1 accident mortel sur 3 sur autoroute, ce qui en fait la 1ère cause de mortalité sur ce réseau.
Dans le cadre d’un programme de recherche scientifique dédié à la prévention de la somnolence, la fondation VINCI a publié les premiers résultats de l’étude sur le dépistage biologique de la privation de sommeil. Ainsi, suite aux expériences menées sur des hommes âgés de 17 à 35 ans, n’ayant pu pu dormir que 3 heures pendant 2 nuits, il en ressort que le manque de sommeil entraine des épisodes de somnolence, une baisse de l’attention ainsi qu’une augmentation de l’agressivité et du niveau de tension, entrainant bien évidemment un impact négatif sur la conduite.
D’autre part, cette étude a permis notamment de révéler que le manque de sommeil est susceptible d’être détecté avec la salive. En effet, une évolution des biomarqueurs sensibles à la dette de sommeil, comme le cortisol, dont le niveau chute après la période de privation de sommeil, a été remarqué durant les phases de tests.
Suite à ses résultats, il serait possible d'envisager que les pouvoirs publics mettent en place un nouveau test salivaire à destination des forces de l’ordre afin de pouvoir détecter et verbaliser, les conducteurs trop fatigués comme cela se fait déjà pour la consommation d’alcool ou de stupéfiant.
Dans le cadre d’un programme de recherche scientifique dédié à la prévention de la somnolence, la fondation VINCI a publié les premiers résultats de l’étude sur le dépistage biologique de la privation de sommeil. Ainsi, suite aux expériences menées sur des hommes âgés de 17 à 35 ans, n’ayant pu pu dormir que 3 heures pendant 2 nuits, il en ressort que le manque de sommeil entraine des épisodes de somnolence, une baisse de l’attention ainsi qu’une augmentation de l’agressivité et du niveau de tension, entrainant bien évidemment un impact négatif sur la conduite.
D’autre part, cette étude a permis notamment de révéler que le manque de sommeil est susceptible d’être détecté avec la salive. En effet, une évolution des biomarqueurs sensibles à la dette de sommeil, comme le cortisol, dont le niveau chute après la période de privation de sommeil, a été remarqué durant les phases de tests.
Suite à ses résultats, il serait possible d'envisager que les pouvoirs publics mettent en place un nouveau test salivaire à destination des forces de l’ordre afin de pouvoir détecter et verbaliser, les conducteurs trop fatigués comme cela se fait déjà pour la consommation d’alcool ou de stupéfiant.
Pour en savoir plus : http://fondation.vinci-autoroutes.com/fr/article/des-marqueurs-salivaires-temoins-du-manque-de-sommeil