Aujourd’hui, 3 pictogrammes de couleurs distinctes sont utilisés pour avertir des risques encourus.
L’automobiliste ne doit pas conduire sans avoir lu la notice en présence d’un pictogramme jaune, doit demander l’avis d’un professionnel de santé avec un pictogramme orange et doit obtenir l’accord d’un professionnel de santé pour reprendre la conduite en présence d’un pictogramme rouge.
L’utilisation d’anxiolytiques est associée à une probabilité de 42% d’être responsable d’un accident. La consommation de drogue médicinale est responsable d'environ 3% des accidents de la circulation routière. La raison se trouverait du côté du manque de campagnes de sensibilisation, utiles pour renforcer la compréhension des pictogrammes. Celles-ci devraient s'adresser à la population mais aussi aux professionnels de santé tels que les généralistes et les pharmaciens.
* Etude menée par des chercheurs de l’université de Bordeaux, analyse de plusieurs bases de données nationales entre 2005 et 2011.
26 août 2016
voiture
législation
Les pictogrammes davertissement sur les médicaments jugés inefficaces
Une récente étude* tend à montrer que l’utilisation des pictogrammes d'avertissement n’a pas fait diminuer les accidents liés à la prise de ces médicaments.